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CRÉATIONS

Plus d'info sur le site de la Cie Diotime
Vivantes

Le spectacle "Vivantes" s'inspire du conte mexicain La Loba et porte un regard sensible sur huit femmes et leurs archétypes, leurs blessures, leurs forces et le chemin parcouru pour défendre là où elles sont libres aujourd’hui. « Nous sommes toutes au début ou à un moment donné, un tas d’os, un squelette démantelé gisant quelque part dans le désert sous le sable. C’est une tâche pénible qu’on doit exécuter quand la lumière est bonne, car il faut y consacrer beaucoup d’attention. La Loba vous montre ce que nous devons chercher, l’indestructible force vitale, les os ». Clarissa Pinkola Estés

La Loba a pour unique tâche de ramasser et de conserver des os, surtout ce qui risque d’être perdu pour le monde. Elle arpente les montagnes, les déserts, les lits asséchés des rivières à la recherche d’os de loups. Lorsqu’elle est parvenue à reconstituer un squelette, elle réfléchit à ce qu’elle va chanter. Une fois trouvé, son chant redonne vie au loup, retrouvant chair, peau, sang… La Loba, chante encore et la créature se met à respirer, ouvre les yeux, bondit et détale dans le canyon. Au cours de sa course, elle se transforme en une femme allant vers l’horizon, libre.

Portrait en déshabillé de soi

« Être enfermée dans un corps est une épreuve terrible, mais j’oublie, je ris, je tire les cheveux, j’adore à tort et à travers. Je rutile et je flambe jusqu’à ne laisser aucune cendre, comme les diamants ». B.Fontaine

Lionel Bonaventure

Inspiré du livre « Portrait d’une artiste en déshabillé de soie » de Brigitte Fontaine, ce spectacle cherche la correspondance entre vocabulaire littéraire et chorégraphique mettant en scène 7 interprètes évoluant dans une écriture originale entre poésie et corps. Ainsi, partant des mots de cet auteur-compositeur-interprète engagé, révolté et libre, nous avons interrogé les résonances que cela pouvait avoir dans nos représentations de nous-mêmes. Faisant suite à la création précédente « Autoportrait #1 Le Non dit », c’est une prolongation de la réflexion sur l’image individuelle ou collective de la femme.

« Je dis je, Je, je, je. Mais je ne sais pas du tout qui je suis. Suis-je assez fière enfin pour être juste moi ? Suis-je une truie mondaine, un singe capucin ? Suis-je un malentendu ou bien suis-je un miroir, une étoile ? Suis-je une star mystique, un paradis perdu ? Suis-je la fée vert chou, le roseau mal pensant ? Suis-je un pingouin malade, un petit ramoneur ? Suis-je la der des ders, le monstre du Loch Ness ? Suis-je moi à la fin, puisqu’il faut parler net ? » Brigitte Fontaine

Autoportrait #1 le Non Dit

Autoportrait #1  Le non dit » met en scène 6 interprètes, évoluant dans une écriture chorégraphique originale où elles interrogent la question de la représentation de soi… Une immersion dans cette libre interprétation d'elles-mêmes, puisant dans leur propre réflexion et référence de l’autoportrait et celle du travail photographique des artistes de l'exposition et du livre « l’avant-garde féministe » de Gabrielle Schor. Angels Ribé, Annegret Soltau, Orlan, Ana Mandieta, Margot Pilz entre autres, seront les premières artistes qui proposèrent une nouvelle « image de la femme », dénonçant le sexisme, les inégalités sociales et les structures du pouvoir patriarcal. Neige Salinas et ses interprètes donnent à travers cette création,  un témoignage sensible de ces problématiques toujours d'actualité. 

Autoportrait #2

Performance avec les élèves d'art plastique du Lycée St Sernin autour de l'autoportrait.​ 

Le portrait répond à la volonté de transcrire le caractère d’un individu et sa façon d’être. À travers le regard du portraitiste, cela peut révéler également l’image qu’on se fait d’une personne. L’autoportrait dans sa plus grande liberté est une représentation imagée de soi.

Portrait ou autoportrait se retrouvent en dessin, peinture, gravure, sculpture, écriture et, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, en photographie.

La démarche est comment transposer et trouver cette représentation fidèle ou imagée de l’autre ou de soi par le mouvement.

Genre Humain

Questionnements sur les relations humaines

À nos amours

Quatre danseuses incarnent avec intensité les joies, les doutes, les luttes et les rêves des femmes face à l'amour.

Exil

Une femme seule, avec pour compagnie une unique valise. À côté, un homme observe la scène. Tous deux doivent affronter les tourments de l’exil. Lui par la musique, comme un marionnettiste, l’emmène entre terre et mer, urbanisme et grands espaces. Elle, à travers la danse, dans son voyage forcé, n’a que sa valise qui lui servira tour à tour de confidente, de véhicule, de maison et de barque… Puis, petit à petit, une relation de confiance va se tisser entre les deux personnages.

Par quel jeu l’un entraînera l’autre à sortir de la crainte et de la solitude? Entre eux s’ouvre un dialogue effréné. Alors un nouveau langage s’écrira, et peut-être arriveront-ils à se créer un univers paisible dans lequel ils pourront se sédentariser sans crainte…

Ce spectacle propose une mise en scène très épurée où l’univers sonore sera un guide dans un voyage chorégraphique. Le musicien est entouré de dispositifs mystérieux: instruments fabriqués sur mesure, capteurs sensoriels, haut-parleurs dissimulés… Il esquisse l’espace sonore dans lequel évoluent les personnages exilés, en même temps qu’il est compagnon de route de la danseuse.

Elle, dans une danse théâtrale, joue avec la contrainte de l’espace, exprimant la difficulté du chemin à parcourir, mais aussi l’absurde dans lequel parfois elle se retrouve. L’écriture chorégraphique va nous emporter dans un tourbillon d’émotions, et de drôlerie, où le spectateur n’aura qu’à laisser aller son imaginaire.

Un jeu entre composition et improvisation, réunissant à nouveau sur scène danse et musique, compagnons depuis des siècles.

Petit Personne

Le rideau s’ouvre sur un grand lit où « Petit personne » est allongé, essayant de trouver le sommeil. 

C’est paradoxalement lorsqu’il s’endort que tout bascule : le lit se transforme au gré des péripéties en véhicules imaginaires. 

Il se soulève, devient lieu d’escalade, se fait tout petit comme par enchantement, avant de disparaître, laissant libre cours, dans une scénographie épurée, à la seule danse tourbillonnante et libératrice.

Le point de départ de cette création est la Bande Dessinée Little Nemo in Slumberland de Winsor Mc Cay. Le personnage, rêveur insatiable, nous fait partager ses aventures agitées et fantasmagoriques, nous entraînant dans des tableaux successifs, en écho aux planches de BD, alternant tensions et apaisements, jeux d’ombres, de lumières et d’objets.

Neige Salinas, chorégraphe et interprète de la Cie Diotime, s’est librement inspirée de ce chef-d’œuvre de la bande dessinée pour en proposer une adaptation où chaque artiste (chorégraphe, scénographe, créateur lumière), apporte sa propre traduction pour composer un langage commun.

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© 2020 par Neige Salinas. Créé avec Wix.com

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